Le vendredi 22 juin 2012, le premier rail du tramway de Besançon sera officiellement posé avenue François Mitterrand.
Pagaille, ferraille, grisaille, Bisontins qui braillent. Aïe aïe aïe ! Faudrait pas que le tram déraille…
Vite ! Vaille que vaille, saisir le gouvernail, éviter la mitraille et les diseurs qui raillent.
Il faut trouver un éventail afin de chasser cette grisaille. Ramener les brebis au bercail.
Alors inviter tout le sérail. Lui servir mangeaille et cochonnaille arrosées de jus de papaye et de crémant extra-dry.
Puis, médaille au poitrail et fier comme un samouraï, inaugurer LE PREMIER RAIL.
Non pas comme un bout de ferraille, comme un détail ou un bonzaï. Plutôt sortir tout l’attirail et faire de ce feu de broussailles de merveilleuses retrouvailles.
En somme, la fin de la grande muraille séparant les ouailles de l’éminent épouvantail :
« – Oh que m’offrez-vous là mon ami ? Un rail de fiançailles ? Je tressaille, je défaille, les émotions m’assaillent… ».
A moins bien sûr que la belle bâille, piaille et puis s’en aille. Tournant le dos aux épousailles, au rail, à cette canaille d’autorail :
« Ton feu de paille sent l’ail et pis y’a pas marqué cobaye. Bye bye. »
Signé Godefroy de Montmirail.
Ça, ma caille, c’est un texte duraille qui saille, qui taille les entrailles en écailles.
il y en a un qui doit se rengorger du poitrail!!