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Ginko, les pneus neige et les bus cabriolets

Il neige ! Les bus Ginko rentrent au dépôt.
– Et nous on fait comment ?
– Eh bien comme d’hab : râlez et marchez !

À Besançon, ville de l’Est de la France où il neige tout de même quelques jours par an, c’est comme ça. Les raisons de cette incapacité de nos bus à affronter une couche de neige même modeste ? L’Est Républicain nous apporte quelques éléments de réponse dans un article du 6 février dernier.

Extrait :

Mais pourquoi diantre les bus sont-­ils à ce point frileux ?
« Par mesure de sécurité : les contraintes sont énormes, les bus peuvent glisser et renver­ser un piéton par essence plus nombreux en ville qu’en périphérie  Ils peuvent aussi occasionner des embouteillages supplémentaires, s’ils se met­tent en travers », note le servi­ce communication de Ginko. »

Voici l’argument n°1 : l’ouverture de parapluie.

Cette habitude se généralise un peu partout dans notre société frileuse. En résumé : si le maintien d’un service public est susceptible d’entraîner un risque – même minime – pouvant engager la responsabilité d’un donneur d’ordres, ce dernier suspend le service. Il ouvre le parapluie et tant pis pour la continuité du service public. Ceci passe au second plan.
L’exemple des transports scolaires de plus en plus souvent interrompus dès l’annonce d’une averse neigeuse en est une parfaite illustration.

Autre extrait de l’article de l’Est Républicain :

Reste qu’en dehors de la ville, les bus savent qu’il peut nei­ger en hiver en Franche-­Com­té, et chaussent des pneus adaptés. « En ville, ils n’en ont pas. C’est inutile pour 5 ou 6 épisodes neigeux dans l’an­née, c’est un problème de coût », confirme en marchant sur des œufs la com’de Ginko.

Voilà l’argument n°2 : les pneus hiver c’est trop cher ma p’tite dame…

Alors certes, il y a sans doute du vrai là-dedans. Équiper tous les bus de pneus hiver aurait un coût non négligeable qui serait forcément répercuté sur les tarifs.
Mais Besançon se trouve tout de même dans l’Est de la France, dans une région où la neige n’est pas un phénomène climatique exceptionnel. Dire que l’équipement serait « inutile » c’est un peu léger. Je pense que la/le responsable de de la communication de Ginko ne doit pas prendre souvent le bus en hiver.

Équiper certaines lignes particulièrement fréquentées semblerait pourtant logique. Et quand un bus est équipé d’un train de pneus hiver, use-t-il les pneus qu’il chausse durant le reste de l’année ?
Quant aux bénéfices que Transdev tire de l’exploitation de notre réseau de transport urbain, a-t-on aussi le droit d’y voir « un problème de coût » ou un élément « inutile » dont on pourrait tout à fait se passer ?  Hein ? On peut ?
Ah non en fait… On me souffle dans l’oreillette que ça ne marche pas comme ça… Mon raisonnement serait un tantinet naïf voire un brin anticapitaliste. Les bus c’est vachement plus compliqué.

ginko

Suggestion

Franchement Ginko. C’est pas un peu ballot de couvrir tes bus juste pour quelques jours de pluie par an ?
C’est pourtant évident : tu pourrais faire de sacrées économies en investissant dans des modèles cabriolets.

D’autant que si l’on y réfléchit bien, les avantages pour l’usager seraient loin d’être négligeables : fin des problèmes de buée sur les vitres, terminées les mauvaises odeurs du voisinage, une climatisation naturelle et écologique (un nouveau label pour Besançon ?) et enfin : une vue imprenable sur notre cher site UNESCO.

Vive le progrès !

 ginko

 

Lève-toi et marche petit Bisontin

Certes, l’abonnement aux transports scolaires dans le Grand Besançon augmentera à la rentrée d’une manière assez déraisonnable. Les parents que vous êtes sont d’ailleurs très très très mécontents, comme ce monsieur de la FCPE qui va jusqu’à parler de racket et a lancé une pétition.

Et cependant, les gens, vous devriez relativiser un peu.

Je m’explique. Nous quand on était gamins, on allait à l’école à pieds à cinq heures et demi du matin, été comme hiver. On y allait en sabots et on traversait des prés avec des taureaux peu affables dedans. On parcourait des kilomètres dans la campagne, les orties fouettaient nos mollets, les ronces griffaient nos bras.  Dans la forêt, en novembre, on entendait des loups. Sur le chemin, on ramassait du bois que l’on mettait dans le poêle de la classe en arrivant. Et si on oubliait de se curer les ongles après ça, le maître nous gratifiait de grands coups de règle plate sur le bout des doigts.

Alors comprenez bien que vos gamins qui vont en bus au collège avec leur ipod dans les oreilles, confortablement assis à tapoter des SMS et infoutus de laisser leur place à la dame âgée qui – elle – quand elle était jeunette, allait à l’école à pieds à cinq heures et demi du matin, été comme hiver avec les taureaux, les loups et tout ça…

Bref, faites-les marcher vos gosses !  Faites-en des hommes ! Déjà qu’ils ne connaitront pas l’armée ces p’tits cons ! Marchoooons Marchooooons ! Et puis la marche justement, c’est excellent pour leur santé vous savez. Faites ça pour eux au moins…
Sinon, à la rigueur, il y a aussi le vélo. Mais avec l’ipod c’est très dangereux…

PS : Quoi les filles ? Elles vont au collège aussi ? Y’a pas de la couture à faire à la maison ?

(Zut ! Je crois bien que Josette Sahle déteint sur moi…)

Traversons Besançon à bord du tramway : voici l’animation 3D présentée à la Foire Comtoise

Le week-end dernier, un internaute avait mis à notre disposition un screener (on parle de screener lorsque l’on filme directement un écran diffusant un film ou une vidéo) de la vidéo projetée sur le stand du futur tramway du Grand Besançon à la Foire comtoise.

Cette vidéo présente une partie du trajet du tramway en animation 3D, le tout accompagné de commentaires et explications.

Aujourd’hui, voici un autre screener de bien meilleur qualité. Il s’agit cette fois de l’animation 3D présentée sur les deux bornes interactives du stand. Sur place, il est possible de prendre en main l’animation et d’en changer le point de vue.

Voici donc la vidéo 3D du parcours du tramway entre Planoise et la zone des Marnières.

Lors du passage au centre-ville, vous remarquerez que la « caméra » se trouve à l’intérieur du tram. Nous sommes en vision subjective et c’est l’occasion de voir les futurs aménagements modélisés en 3D : le quai Veil Picard (nouveaux arbres, encorbellement), le nouveau pont Battant (plus large), le tracé des rails sur la place de la Révolution où les poteaux soutenant les câbles semblent moins hauts et moins « design » que ceux annoncés.

La modélisation ne restitue évidemment pas une image précise de ce que seront les aménagements définitifs du tramway mais elle nous en donne pour la première fois une vision concrète.

N’hésitez pas à donner votre avis dans les commentaires ci-dessous !

Vidéo : Virtuel City & Agence BigBang / © CAGB

Françaises, Français, votez pour la couleur du tramway du Grand Besançon !

En ce joli moi d’avril, tous les Grands Bisontins ont dû recevoir dans leur boîte aux lettres, le deuxième numéro de la Lettre du Tram également consultable en ligne sur le site officiel du futur tramway.

Grands Bisontins votez !

Ce document détaille les différentes voies par lesquelles les habitants de l’agglomération bisontine peuvent s’exprimer sur l’opportunité du tramway le choix de la couleur de leur tramway :

  • découper le coupon joint à la lettre et le déposer en différents lieux avant le lundi 23 mai 2011 ;
  • voter sur le stand du Grand Besançon, à la Foire Comtoise, du 28 mai au 3 juin ;
  • exprimer leur choix directement sur le site du tram (petit nom : « tram’Web ») jusqu’au 3 juin.

La proclamation de la couleur définitive est prévue le samedi 4 juin à la Foire Comtoise.

L’originalité de cette initiative a fait l’objet de la rubrique « Bonjour Monsieur le Maire » de l’émission « Europe 1 matin » le mercredi 27 avril dernier. Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon et Président du Grand Besançon s’y est expliqué.

Ecoutez :

[audio:http://bisonteint.net/wp-content/uploads/2011/04/JLF_Europe1Matin_27.04.2011.mp3|titles=Europe 1 Matin – mercredi 27 avril 2011]

Un scrutin national ?

Première surprise : c’est en tant que Maire de Besançon que M.Fousseret est interrogé et à aucun moment il ne rappelle que ce projet est communautaire et qu’il s’exprime donc en tant que Président de la Communauté d’Agglomération. Les 58 autres communes concernées apprécieront.
Mais mettons cela sur le compte de la simplification et de la concision imposées par ce genre d’interview, voire d’un montage sélectif…

Seconde surprise et pas des moindres : (retranscription de la fin de l’interview)

Europe 1 : – Pour les auditeurs qui habitent Besançon et les alentours parce qu’ils peuvent voter aussi finalement (…)
JLF : – Mais la France entière peut le faire (…) Mais oui, bien sûr. Comme Besançon est ouverte sur le monde entier.

Voilà qui est bien perturbant. Ainsi le choix de la couleur du tramway n’est plus le privilège des Grands Bisontins ?
C’est pourtant ce qu’affirme la Lettre du Tram n°2 qui titre « C’est à vous de choisir ! »

D’ailleurs au début de l’interview, M.Fousseret précise :

(…) je pense qu’il faut faire confiance effectivement à l’intelligence des habitants de ce bassin de Besançon pour choisir et voter.

Ceci est d’autant plus surprenant que sur la page dédiée au vote, il convient d’indiquer sa commune de résidence parmi les 59 du Grand Besançon. Mouais…

Un seul vote par habitant ? Sûr ?

A priori, pas de vérification… si l’on dispose de plusieurs coupons, il est possible de s’exprimer plusieurs fois car rien n’est nominatif.
Plus inquiétant, le vote depuis le site Web du tram. Ici, seul l’adresse e-mail est demandée mais une fois le vote effectué – d’un clic – aucun e-mail de confirmation n’arrive dans votre boîte. Si, si vous savez : ce genre de message dans lequel figure un lien de validation sur lequel il convient de cliquer pour valider son vote. Ceci est pourtant très facile à mettre en place.
En l’absence de ce type de contrôle, il est donc aisé de voter de nombreuses fois en indiquant à chaque fois une nouvelle adresse électronique « bidon ».
Nous ne sommes d’ailleurs pas à l’abri de l’initiative de petits bidouilleurs un peu farceurs qui bricoleraient un programme capable de voter automatiquement un nombre de fois considérable.

Et voilà comment Besançon se pourrait bien se retrouver avec un tramway rose fuchsia. Glups !

Non nonj impossible… Des e-mails de confirmation seront sans doute envoyés avec le lundi 4 juin.
Hein… dites ? Vous y avez pensez ? Parce qu’un tramway rose, tout de même…

Au fait, si aucune des trois couleurs proposées de vous tente… faites un tour sur cette page.

MIS A JOUR (11 mai 2010)

Je constate aujourd’hui en testant à nouveau ce formulaire sur le « Tram’Web » qu’un système de validation a enfin été mis en place. Il est du type suggéré ci-dessus (merci qui ?).
Un message vous signale lors de votre vote que vous devez vérifier vos mails. Vous recevez un message contenant un lien à cliquer pour valider votre choix.
Espérons que cette précaution nous mettra à l’abri des farceurs !

Et si le tramway du Grand Besançon… s’habillait couleur platane ?

Quoi ? T’es pour le tram toi ? T’aimes pas les platanes alors ?

Forcément…

Ou bien :

Tu kiffes les platanes ? C’est ringard. Le tramway ça c’est d’la bombe !!!

Évidemment…

Et vous ? Avez-vous choisi votre camp ?

Quoi ? Non !? Il faut absolument vous positionner et fissa ! Parce qu’entre amis, avec les collègues ou autour du poulet dominical, le sujet arrivera tôt ou tard sur le coin de la table. C’est inévitable et l’on attendra de vous que vous preniez position…

Ne cochez qu’une seule case :

□ J’aime les platanes du quai Veil-Picard (choix n°1)
□ Je suis favorable au futur tramway du Grand Besançon (choix n°2)

Petite mise en garde :

Dans le cas où vous opteriez pour le choix nº1, sachez que les tenants du choix n°2 vous considéreront comme un écolo-conservateur un brin naïf et carrément anti-progressiste. Vous gagnerez votre piédestal au poussiéreux musée des refuseurs d’avenir, où vous profiterez de la compagnie des opposants à la Tour Eiffel de 1889, des paniqués de l’an Mil et autres flippés du nucléaire (pourtant si bon si propre).
Bref, pour l’autre camp vous êtes un con.

Si c’est le choix n°2 qui a emporté votre suffrage, alors acceptez cette réalité : aux yeux des adeptes du choix n°1, vous ne valez pas mieux que les responsables de la déforestation en Amazonie. Vous n’êtes qu’un goudronneur sans cœur, un enlaidisseur urbain… Vous serez tenus directement responsable du quai sans platanes, des hausses d’impôts, des futures crues du Doubs et de la disparition des abeilles.
Donc pour l’autre camp vous êtes un salaud.

Pouf pouf… On en est là. Et on fait quoi maintenant ?

Et bien pour la première fois on propose aux habitants du Grand Besançon de prendre concrètement part à un choix concernant le tramway : celui de son habillage.
Bonne idée ! Beaucoup ont en effet regretté que le choix de ce futur mode de transport ait été effectué sans qu’on veuille bien les consulter.
Au moins, ils seront associés au choix de sa couleur !

Cette semaine, des modélisations de l’engin ont donc été présentées à la presse. Belle bête, plutôt racée.
Une face souriante diront « les choix n°2 ».
De petits yeux vicieux glisseront « les choix n°1 »
Dans un premier temps, trois habillages différents ont été présentés à la presse : blanc nacré, fuchsia et bleu turquoise.

Ce samedi, une quatrième et ultime livrée a été ajoutée. Cet habillage supplémentaire ne manquera pas de surprendre et sans doute de consoler les esprits chagrins puisque ce n’est pas d’une couleur dont il s’agit cette fois, mais d’une « texture » imitant… l’écorce de platane !
Incroyable idée dont l’objectif a n’en pas douter est double :

  • rendre un hommage appuyé aux platanes centenaires du quai Veil Picard « sacrifiés » sur l’autel du tramway naissant ;
  • jouer l’apaisement en offrant aux tenants du choix n°1 une contrepartie symbolique à l’abattage de ces arbres, tout en les invitant à adhérer au projet…

Les quatre habillages proposés pour le futur tramway du Grand Besançon


Et voici les modélisations représentant le tramway avec les quatre livrées proposées.

Les Grands Bisontins sont appelés à se prononcer dès le 18 avril prochain en différents lieux et par le biais de supports variés (coupons à découper, vote en ligne, etc).

Mais vous pouvez déjà donner votre avis en votant ci-dessous pour votre habillage préféré.


Et voilà le tramway du Grand Besançon !? (mis à jour)

Au départ, une image découverte sur le Web par @blogbesancon, éminent membre actif de la twittosphère bisontine… et aussitôt twittée.

S’agit-il bien d’une modélisation « officielle » du futur tramway du Grand Besançon ? Certains indices semblent le confirmer.

Tout d’abord, l’image provient d’un article publié sur Railway Gazette, un site Web spécialisé dans le domaine de l’industrie ferroviaire. L’article en question est consacré aux récents contrats signés par le constructeur espagnol CAF pour la vente de ses tramway Urbos.
Ce constructeur est celui qui a remporté l’appel d’offre pour le tramway Grand Bisontin et l’image en question illustre l’article.

Ensuite, sur le site du constructeur CAF, la page dédiée au tramway bisontin vient d’être créée, on peut y trouver beaucoup d’informations techniques mais il manque encore les images de modélisation…
Or en comparant l’illustration tirée de l’article de Railway Gazette avec certaines images présentes sur le site de CAF, il est évident que les modélisations sont très proches de celle représentant le tramway bisontin.

Voici la description générale publiée sur le site du constructeur :


Et encore un scoop !

Au passage, on découvre un scoop dans la rubrique « Équipement » : le tramway bisontin disposerait bien de la climatisation dans le salon voyageur. (Merci à Yannick Olivier pour cette découverte)

La capture d’écran ci-dessus n’est plus valable.
La page a été modifiée sur le site CAF.es. Désormais, la climatisation cabine et l’ACR (Accumulateur de Charge Rapide) ne sont plus au menu.

Prenons donc ce pari : le tramway du Grand Besançon ressemblera à ça… ou pas !
Pour ma part et c’est très subjectif, j’espère que « l’habillage » n’est pas définitif…

Et vous qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à donner votre avis dans les commentaires.

Mise à jour le samedi 8 janvier 2011 à 14h10

Jean-Louis Fousseret, Maire de Besançon et Président de la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon, répond à une question que je le lui ai posée sur Facebook au sujet de cette image.

Donc suspense, mystère et boule de gomme…

Mise à jour le samedi 8 janvier 2011 à 17h00 suite au billet de ma Commune.info

Intéressant article sur Macommune.info au sujet de ce billet. On y parle de l’Internet qui va trop vite et du rapport qu’entretiennent aujourd’hui les décideurs politiques avec l’information immédiate transmise sur le Web…

Citation

N’importe qui aujourd’hui, sous couvert d’anonymat sur Tweeter, peut lancer une rumeur, un « fake » (et je ne parle même pas d’usurpation d’identité possible !).

Dommage que cette intéressante réflexion n’ait pas été initiée par Macommune à l’occasion de ce billet qui a marqué les mémoires en novembre 2010 et au sujet duquel je m’étais fendu de cette petite bafouille.

Quoi qu’il en soit, merci à Macommune pour cette publicité pour mon modeste blog !

Sur le Net

Réunions publiques d’information sur le tramway de Besançon : séance de rattrapage.

Vous n’étiez pas présent aux réunions publiques d’information sur le tramway bisontin…voici quelques enregistrements audio et vidéo réalisés lors de la réunion sur le tramway bisontin qui s’est déroulé au Kursaal le mardi 2 novembre 2010.
Vous y entendrez des questions posées par les personnes présentes et les réponses apportées par Jean-Louis Fousseret et d’autres élus du Grand Besançon.
Les enregistrements ne couvrent pas l’intégralité de la réunion mais constituent une base intéressante pour tous ceux qui n’ont pas pu se rendre à ces réunions. Pour information, il en reste quelques-unes.

L’accueil à l’entrée du Kursaal était assuré ce soir là par des membres du Mouvement Franche-Comté (fédéralistes), dont Jean-Philippe Allenbach qui distribuaient des tracts demandant l’organisation d’une consultation de la population sur le tramway.

Dans l’introduction de la réunion, Jean-Louis Fousseret a donc d’emblée apporté des éléments de réponse à cette demande qui lui avait déjà été faite lors des réunions précédentes par M. Allenbach. Il manque plusieurs minutes au début de cette intervention.

[audio:introduction_JLF.mp3]

Notons au passage le joli lapsus de Jean-Louis Fousseret qui termine son introduction en parlant d’une « commission d’enquête » alors qu’il s’agit simplement d’une réunion publique d’information…
Replay :

[audio:intro_commission.mp3]

Une vidéo de présentation du projet est ensuite diffusée. Elle a été filmée lors de la première réunion publique à Planoise par Yannick Olivier et n’est toujours pas visible sur le site du tramway bisontin.

httpv://www.youtube.com/watch?v=3aQiM2VaJmU
© Yannick Olivier

Arrive la première intervention dans le public. Celle d’un homme qui formule des remarques et des questions particulièrement franches (il manque quelques secondes à son intervention) :

httpv://www.youtube.com/watch?v=aGIvmajxAR4
© Yannick Olivier

Réponse de JL Fousseret :

httpv://www.youtube.com/watch?v=x8gyrN4y4Wk
© Yannick Olivier

Réponse de Gabriel Beaulieu, premier vice-Président du Grand Besançon :

httpv://www.youtube.com/watch?v=QgyFVb6G81w
© Yannick Olivier

La suite dès que possible…

Google s’invite à la manif ?

Des Google cars qui ont été signalées dès hier après-midi à Besançon. Elles sont dans notre ville afin d’en poursuivre la couverture pour Street View, service de navigation virtuelle de Google.

Rappelons que dès le mois d’août 2009, une Google car avait été signalée à Besançon.

Photo prise près d’un hôtel par un Bisontin

Il avait fallu attendre le mois de décembre 2009 pour que Google nous offre un beau cadeau de Noël : une première couverture de certaines rues de Besançon.

Agrandir le plan

La prochaine livraison d’images arrivera donc sans doute dans quelques mois.
On est toutefois en droit de s’interroger : les Google cars ont-elles travaillé ce mardi (pas de grève chez Google !) ?

Si oui, Google a-t-il choisi le meilleur jour pour photographier les rues bisontines ?
Imaginons…

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