Archives de catégorie : Insolite

Dominique Strauss-Kahn reconnu pour sa passion de la pipe dès 1999 !

A la consultation de la page Web de la Confrérie des Maîtres-Pipiers de Saint-Claude, les adeptes de l’humour grinçant et du comique de circonstance découvriront avec bonheur que Dominique Strauss-Kahn est membre de cette confrérie depuis 1999…

On nous explique que :

« Tous les membres (actuellement 1000) sont choisis dans le monde entier pour la passion, qu’ils ont pour la Pipe.
Trois réunions sont tenues chaque année. L’une d’entre elles élit « Le Premier Fumeur de Pipe de France« , qui reçoit une distinction originale: une pipe à son effigie fabriquée par Paul Lanier. »

Donc en 1999, ce fut Dominique Strauss-Kahn.

DSK pourra toujours se consoler d’être – ou du moins d’avoir été – « Premier Fumeur de Pipe de France » faute de n’avoir pu obtenir un autre premier rôle.

Voilà voilà…

Photo : Paul Lanier

Source : Gala

Si le second degré vous échappe ou si c’est vous qui avez échappé à l’actualité délirante en cours… voici un lien à cliquer.

L’ex-épouse de Marc Dutroux aurait pu être accueillie dans un couvent près de Besançon (billet mis à jour)

ATTENTION : billet mis à jour. Modifications en bas de l’article.

Michelle Martin, ex-épouse de Marc Dutroux emprisonnée depuis 15 ans, est sur le point d’être libérée.
Elle a émis le souhait de rejoindre un couvent en France…

Or il semblerait que le couvent pressenti pour l’accueillir soit celui des Sœurs dominicaines de Béthanie à Montferrand-le-Château, près de Besançon.

La congrégation des Sœurs dominicaines de Béthanie, fondée en 1866 par le père Lataste a pour particularité d’accueillir en son sein d’anciennes détenues converties à la vie de religieuses.

On imagine déjà que cette nouvelle va faire du bruit dans la région de Besançon.

Sources :

  • Paul Marchal a demandé aux Soeurs qu’elles comprennent (www.7sur7.be) Paul Marchal, père de l’une des victimes du couple Dutroux, a contacté les sœurs du couvent pour leur demander de comprendre. Elles ont été visiblement très surprise qu’une fuite ait révélé « l’affaire »…

MIS A JOUR (13/05 à 13h30)

France Soir publie un article dans lequel les Soeurs de Béthanie s’expriment et disent que cet accueil ne sera pas.

Extrait :

« Nous avons entendu à la télévision que la femme de Marc Dutroux, bientôt libérée, pourrait intégrer notre maison. J’ai immédiatement dit à mes consœurs que le ministère de la Justice ne l’accepterait jamais en France. Mais si cela avait été le cas, aurions-nous pu l’accueillir ? Oui. C’est notre vocation d’intégrer toute femme qui voudrait suivre le chemin religieux, quel que soit son passé. Mais les circonstances ne le permettent pas. Elle ne viendra jamais chez nous. L’affaire est trop médiatisée. Comme dans chacun de nos couvents, tout ici est ouvert, elle serait pistée, harcelée, elle ne serait pas en sécurité. Il lui faut un couvent cloîtré. »

On en parle depuis dans la presse :

VIDEO : Tramway optimisé… on peut faire mieux !

On nous a annoncé un tramway optimisé. Un concept spécialement créé pour notre tramway à nous, les Grands Bisontins. Chanceux va !
En vrac cela signifie des économies dans les coûts grâce notamment :

  • à une sobriété dans la conception et les aménagements,
  • au choix d’un design et d’équipements standards, confortables et de qualité,
  • à des économies sur les infrastructures et un recentrage sur les fonctionnalités indispensables (quais, mobilier urbain, revêtement des voies, pas de gazon au bord des voies…)
Mais attention : « Un tramway optimisé n’est pas un tramway au rabais » a précisé à de multiples reprises Jean-Louis Fousseret, Président de la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon (CAGB).

Eh bien… dans l’art d’optimiser, en voilà qui ont beaucoup à nous apprendre.
Notamment dans l’art d’optimiser l’espace. Ça se passe sur le marché de Maeklong en Thailande.

Autre lieu, autre réalité… et sacré décalage en tout cas ! Surtout quand on se rappelle que le Préfet du Doubs avait émis un avis défavorable au passage du tramway dans le centre ancien sauvegardé à cause de l’installation de quelques lignes électriques aériennes…

Le Maire, les Jeunes Pop et l’Internationale : enfin la vérité !

C’est un beau roman
C’est une belle histoire
C’est une romance d’aujourd’hui
Il rentrait chez lui, en passant par Chamars
Elle Il se restaurait à la City la City
Ils se sont trouvés au bord du chemin (…)

Euh… en fait c’est plutôt au restaurant de l’hôtel Ibis qu’ils se sont retrouvés. Par un hasard heureux. Ou pas.

À ma droite : Jean-Louis Fousseret, Maire PS de Besançon, tout juste sorti d’une séance du Conseil Municipal (séances qui se déroulent à la City durant la rénovation de la salle du Conseil Municipal).
À ma gauche : Benjamin Lancar, Président des Jeunes Populaires (jeunes UMP) venu assister ses minces troupes locales dans la glorification des quatre premières années du règne quinquennat de leur cher Président.
Oui je sais. La répartition droite/gauche est un peu biaisée…

Ce qui devait arriver arriva…

… Le responsable des Jeunes Populaires du Doubs montre les dents contre le tramway bisontin sous les yeux émus de son chef. Jean-Louis Fousseret l’entend, intervient et entonne l’Internationale – le bras levé – sous les hués des jeunes populaires.
L’un d’entre eux filme la scène avec son téléphone portable -> DailyMotion -> Facebook -> Twitter -> Buzz…

Mais cette vidéo est-elle authentique ?

Dès dimanche matin, une première photo a été mise en circulation via Twitter. Ce n’est que le lendemain que la vidéo a été publiée sur DailyMotion et diffusée sur le Web. Pourquoi ce décalage ?

Maintenant, regardez bien.
Non. Mieux que ça. Là. Mais siiiii là !!! La cravate !
La cravate du Maire de Besançon est verte sur la photo. Alors que sur la vidéo publiée le lendemain, elle est devenue rouge !


Incroyable non ? Une cravate devenue rouge comme la cédille bisontine.
Et l’Internationale… de la même couleur.

Une machination ?

On sait comme il est facile aujourd’hui en quelques clics de souris de modifier une image ou un son ; alors j’ai recherché des témoins de cette soirée. Une demande lancée sur Twitter et Facebook a été relayée et deux témoins m’ont contacté. Ce qu’ils m’ont confié est édifiant. Ils ont vu et entendu des choses bien différentes de ce que la version officielle a bien voulu nous livrer.

Mais pas question de faire des révélations en me basant uniquement sur des témoignages. La vidéo diffusée est là, concrète. Le poids de l’image, a fortiori de l’image qui bouge, est bien supérieur en terme de crédibilité à la parole de témoins. Témoins désirant par ailleurs rester anonymes.

Par chance, le maillon manquant : la vidéo originale, a été publié ce mercredi 12 mai en fin d’après-midi sur le site Wikileaks.
Incroyable ! Wilileaks ! Un site qui s’est rendu célèbre il y a quelques mois par la publication de documents top secrets révélant les rouages de la diplomatie américaine.

Qu’une personne diffuse une vidéo via Wikileaks, site spécialisé dans la divulgation d’informations extrêmement sensibles, montre que ce qui ne semblait être au départ qu’une petite anecdote s’avère être au final bien plus que cela.

Alors pourquoi ? Et surtout par qui ?

Il est évident que le contenu audio de cette vidéo est bien différent de celui qui a été préalablement publié sur Internet. Les objectifs de cette manipulation m’échappe et les indices et preuves que j’ai pu réunir jusque là sont encore minces mais ils démontrent qu’un complot est à l’œuvre et que les intentions de ceux qui tirent les ficelles relèvent d’enjeux qui dépassent, et de loin, la sphère bisontine, franc-comtoise et même nationale.
Les principaux responsables que je suis parvenu pour l’instant à identifier sont…

Excusez-moi. Je reviens. On frappe à ma p


Vidéo originale publiée par Wikileaks

Camille et Claude, un amour platanique

Le premier jour

Camille : – Je n’oublierai jamais ce matin-là – sans doute le pire moment de mon existence. Ils m’ont glissée de force dans ce sol inconnu – la terre était froide…
Tout autour, ce n’étaient que coups de pioches, voix rigolardes d’hommes indélicats et heurts des sabots des chevaux contre le pavé poussiéreux.
Ça m’a semblé une éternité.
Lorsque tout s’est enfin arrêté, j’ai perçu un tumulte assourdissant : l’eau de la rivière.
C’était au printemps et le Doubs était bien haut. Il charriait des branches et des troncs – nos frères. J’étais terrorisée, pensant que l’eau viendrait sans doute me prendre moi aussi.
Si jeune et tellement craintive, j’en souris aujourd’hui. Comprenez bien que tout était nouveau pour moi et la nouveauté m’effrayait. Et puis cette implacable solitude qui s’annonçait : mon destin d’arbre…
Heureusement, Claude était là.
Je l’apercevais pour la première fois, tout près de moi ; il venait aussi « d’emménager ».
Il était jeune, le tronc lisse et son feuillage demeurait encore rare. Sa présence m’a tout de suite rassurée. Dès cet instant, j’ai éprouvé l’envie – ou devrais-je dire le besoin – d’être au plus près de lui.
Je crois que c’était le plus beau jour de ma vie.

Claude : – Quelques feuilles – une dizaine tout au plus – sur le sol devant moi. C’est la première chose que j’ai vue après avoir été « enterré » là par ces types brutaux chargés de nous « installer ». C’était de petites feuilles d’un vert si tendre, d’une découpe si délicate… J’ai su immédiatement que ce n’étaient pas les miennes.
J’ai alors cherché leur propriétaire et c’est là que j’ai découvert Camille ; elle était à quelques pas de moi. Fraîchement enracinée, elle aussi. Elle paraissait perdue et totalement vulnérable.
Ma sève n’a fait qu’un tour. J’ai pensé ramasser ses feuilles et les lui rapporter – « Mademoiselle, vous avez égaré… »
C’est là que j’ai compris ce qu’être un arbre veut dire. On demeure là où l’on nous plante. Bouger…
Les feuilles sont restées sur le sol et avec Camille, nous ne nous sommes plus jamais éloignés l’un de l’autre, ni rapprochés d’ailleurs.
Ces quelques pas entre elle et moi sont devenus notre océan à nous. Un océan infranchissable.

BisonTeint : – Vous utilisez « elle » et « lui » quand vous parlez l’un de l’autre.
Pardonnez-moi mais, les platanes comme tous les arbres et comme l’ensemble des végétaux d’ailleurs, n’ont pourtant pas de sexe…

Claude : – « Le » caillou et « la » pierre n’en ont pas non plus…

Camille : – Pas de sexe donc pas de sentiments, c’est cela que vous pensez ? Pourtant l’attirance, la connivence était là dès le début entre nous. Comment vous expliquer…

Le complice

BisonTeint : – Peut-on parler d’amour entre deux platanes ?

Claude : – En fait, ce mot et cette idée nous étaient complétement étrangers jusqu’à ce jour d’été. C’était quelques temps avant la guerre – la Grande comme ils disent. Celle qui a vidé les rues de Besançon de tous les hommes jeunes durant de nombreuses saisons. Tu t’en souviens Camille ?

Camille : – Je me le rappelle. C’était un jour pluvieux. Ils l’ont amené dans une charrette tirée par un cheval. Ils l’ont posé là, juste entre Claude et moi, ils l’ont fixé au sol et il n’a plus bougé. Comme nous.

Claude : – C’était un banc. Il était vert. Avec Camille, nous l’avons d’abord haï. Rendez-vous compte : à cette distance entre nous s’ajoutait désormais cet obstacle, cet intrus, ce corps étranger inerte fait de bois mort et de ferraille…

Camille : – Les premières années, il n’a pas beaucoup servi. Quelques vieux s’y reposaient parfois. La plupart semblaient attendre la fin de la guerre – le retour de leurs fils. Beaucoup ont espéré en vain.
Quand la guerre s’est enfin achevée, nous avons vu venir sur le banc des couples. Nous les avons regardés s’enlacer, se prendre la main, se caresser et s’embrasser. Nous avons ressenti leurs souffles, perçu leurs murmures et leurs confidences.
Certains nous ont même associés à des serments que nous conservons gravés ici et là.

Claude : – Dès lors, le banc a cessé d’être un obstacle pour devenir notre complice. Nous vivions par procuration les histoires d’amour qui y naissaient, y murissaient et s’y éteignaient parfois…

Camille : – Pour moi, les ruptures… après toutes ces années, c’est toujours aussi triste. Je ne m’y habituerai jamais. A chaque fois, j’y laisse des feuilles. On pleure ce qu’on peut.

Claude : – Camille… mon écorcée vive.

Camille : – Je sais… une incorrigible romantique. Claude me taquine souvent avec ça…

Le désir

BisonTeint : – Donc l’exemple de ces amoureux vous a en quelque sorte « inspirés » ?

Claude : – Oui. Et nous y avons pris goût et avons commencé à ressentir des émotions a priori peu banales chez nous les arbres.
En automne, par exemple. Le grand effeuillage annuel nous a rendu, au fil des années, de plus en plus pudiques (…)

Camille : – Et le printemps. J’adore le printemps ! Nos premières feuilles, nos branches qui s’étirent, s’allongent pour s’effleurer enfin ! Toute l’année nous attendons ce moment.

Claude : – Vous semblez surpris ? Vous ne levez pas souvent les yeux n’est-ce pas ? Les arbres se frôlent au printemps ; soyez attentifs. Leurs feuillages s’entremêlent. C’est réconfortant après un hiver long de se sentir moins seul.

Camille : – Mais cet ersatz ne nous satisfaisait plus. Nous voulions être comme ces amoureux sur le banc. Nous aimer sans distance…

BisonTeint : – L’amour donc ? Mais un amour trop platanique platonique à votre goût…

Camille : – Oui. Cette époque était terriblement frustrante.

Claude : – Mais c’est oublié aujourd’hui…

La maturité

BisonTeint : – Dois-je comprendre que votre grand âge a eu raison de l’attirance physique ?

Claude : – Nullement, bien au contraire. La maturité l’a même exacerbée. Nous ne nous sommes jamais résignés et nous avons fini par trouver comment nous y prendre… tout en protégeant au mieux notre intimité.

BisonTeint : – Vous m’intriguez énormément. Comment vous y êtes-vous pris ?

Camille : – Ça me gêne d’en parler…

Claude : – Je veux bien vous révéler une part invisible de notre histoire.
Voyez-vous, n’ayant pas notre place sur le banc, nous nous sommes rejoints…

Camille : – …en dessous.

BisonTeint : – Incroyable ! Jamais je n’aurais imaginé…

Claude : – Nous profiterons jusqu’au bout de cette chance d’être ensemble.

Camille : – D’autant que nous savons que ce printemps sera le dernier. Les gens en parlent sur le banc…

BisonTeint : – Je n’osais pas vous en parler…

Claude : – Mais nous n’avons pas peur. Nous serons abattus ensemble. Nos troncs et nos branches formeront enfin le même bois.

BisonTeint : – Et les 85 autres platanes du quai, prennent-ils cela avec la même philosophie ?

Camille : – Les autres ?

Claude : – Quels autres ?

J’ai quitté Camille et Claude en pensant que s’assoir sur un banc entre deux platanes n’a décidément rien d’anodin.
Je les ai laissés entre eux sur ce quai Veil Picard ou tant d’histoires petites et grandes restent à raconter, pour peu que l’on s’arrête, observe et écoute.

Camille est Claude ont été abattus le lundi 23 janvier 2012.

Quelques photographies de Camille et de Claude.

Camille et Claude ont accepté de laisser leur pudeur de côté pour se livrer à mon objectif. Vous l’aurez compris, entre ces deux platanes rien n’est innocent. Innocentes, ces images ne le sont pas non plus. Certaines sont pour le moins érotiques. Soyez prévenus et faites-en bon usage…

Promenons-nous dans la « Bisontine Street »

Chères Bisontines… il y a de cela quelques années, vous aviez déjà dû apprendre à partager votre joli nom avec l’eau municipale en bouteille.

Désormais, il va vous falloir apprendre à le partager aussi avec une rue d’Outre Atlantique !
Figurez-vous qu’à Friendswood, dans l’état du Texas, existe une « Bisontine Street ».
Évidemment, l’accent local est bien différente de notre délicieux parler comtois et cela doit plutôt se prononcer « Bisonetaïne » mais bon, ça existe !

Pourquoi ce nom ? Je vais tenter d’en savoir plus et je vous tiendrai au courant si j’obtiens une réponse.

En attendant, promenons-nous un peu dans la « Bisontine Street » grâce à Google Street View…
Attendez-vous à y croiser plus de pick-up que d’êtres humains. La « rue bisontine » est une avenue typique de banlieue pavillonnaire américaine.

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Bisontine St, Friendswood, Harris, Texas 77546, États-Unis
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Appel à témoins : objets lumineux dans le ciel de Besançon

Les samedis 2 et 9 avril derniers, de nombreuses personnes ont observé des objets lumineux orangés dans le ciel de Besançon après 22 heures.

Voir ce billet avec une vidéo filmée par un témoin.

L’hypothèse de lanternes thaï lancées depuis un quartier de Besançon semble faire l’unanimité parmi les explications avancées sans que les circonstances ni le lieu de lancement précis n’aient été identifiés.

Alors, la sagesse populaire nous enseignant l’adage « jamais deux sans trois », tenons-nous prêts à collecter toutes les observations éventuelles dans le cas où le « phénomène » venait à se reproduire ce samedi 16 avril.

Un dispositif sera activé sur cette page dès 20h00 ou à cette adresse pour les personnes utilisant un smartphone.

Vous pourrez y laisser des commentaires pour rapporter vos observations.

Pensez à être le plus précis possible en indiquant : votre localisation, l’heure précise de l’observation, le nombre d’objets observés et leur apparence, leur localisation et la direction de leur déplacement.
Vous pouvez utiliser Google Maps (déjà centré sur Besançon) pour situer une observation puis coller le lien directement dans votre message.

Pour participer, plusieurs possibilités :

  • directement depuis cette page en utilisant le module mis en place ;
  • depuis Twitter en utilisant le hashtag #OVNIbesac dans vos messages ;
  • en vous connectant à l’aide votre compte Facebook.
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Manif à reculons à Besançon en images…

L’objectif du collectif : dénoncer la nouvelle carte scolaire assortie de nombreuses suppressions de postes.
Marcher à l’envers pour montrer que l’on mène actuellement l’école dans le mauvais sens.. Voir le tract en PDF.
Entre 250 et 300 manifestants ont battu le pavé… à revers au départ de la Préfecture direction la place de la Révolution où l’ambiance festive a malheureusement été douchée par une pluie glaciale aux alentours de 20h30.

Quelques vidéos

Même le désormais récurrent « On lâche rien » en a été tout retourné… « Rien lâche on… »

©BisonTeint.net

Un superbe montage vidéo de la soirée par GeryH

©GeryH

Pochoir sur la chaussée représentant le logo du « collectif parents et enseignants en colère de Besançon et environs ».

©BisonTeint.net

Au départ de la Préfecture, sous les yeux d’une imposante rangée de policiers, le Recteur et Nicolas Sarkozy jouent au chamboule-tout avec les postes d’enseignants.

©BisonTeint.net


Et puis, parce qu’il faut en sourire, voici la première vidéo inversée.
Résumons : une manif à reculons à l’envers, ça fait une manif à l’endroit n’est-ce pas ? Eh oui ! Mais quelles drôles de démarches ces Bisontins !

©BisonTeint.net

Quelques clichés

D’étranges boules de lumière orangée dans le ciel de Besançon

Des boules lumineuses de couleur orangée voyageant dans le ciel de Besançon. C’était vers 22h30, samedi 2 avril dernier et le phénomène a duré une bonne heure.
Ce samedi soir 9 avril, rebelote. Cette fois, un bisontin filme la scène.


Boules lumineuses dans le ciel de Besançon par PiFoU25

L’Est Républicain en a fait un article le 9 avril dernier. On y apprend que le commissariat de Besançon a reçu plusieurs appels concernant ce phénomène. L’hypothèse d’hélicoptères de combat engagés en Afghanistan et temporairement stationnés à Valdahon a été avancée.

Extrait
« Il pourrait donc s’agir d’un vol de nuit de ces appareils disposant d’un mode silencieux, à moins qu’un
effet d’optique ait pu faire paraître les phares de ces aéronefs plus proche qu’ils ne l’étaient, expliquant l’absence de fond sonore. »

Autre hypothèse proposée : un lâcher de lanternes Thaï ou lanternes célestes. Il est vrai que sur la vidéo, les boules lumineuses semblent se déplacer comme portées par le vent…

En décembre dernier, un phénomène similaire a été observé dans le ciel d’Angers. Voir ici et .

Et s’il s’agissait « tout simplement » d’extraterrestres férus de Vauban, d’horlogerie ou de Victor Hugo et ayant jeté leur dévolu sur notre ville ?

Si c’est le cas, une seule chose à leur dire : [audio:http://bisonteint.net/wp-content/uploads/2011/04/3emetype.mp3|titles=Message aux extra-terrestres en visite à Besançon]

Quoi qu’il en soit, rendez-vous samedi soir prochain !

Tous les témoignages et propositions d’interprétation sont bien sûr les bienvenus.

<SPAN ID= »Nom »> </SPAN>

Et si le tramway du Grand Besançon… s’habillait couleur platane ?

Quoi ? T’es pour le tram toi ? T’aimes pas les platanes alors ?

Forcément…

Ou bien :

Tu kiffes les platanes ? C’est ringard. Le tramway ça c’est d’la bombe !!!

Évidemment…

Et vous ? Avez-vous choisi votre camp ?

Quoi ? Non !? Il faut absolument vous positionner et fissa ! Parce qu’entre amis, avec les collègues ou autour du poulet dominical, le sujet arrivera tôt ou tard sur le coin de la table. C’est inévitable et l’on attendra de vous que vous preniez position…

Ne cochez qu’une seule case :

□ J’aime les platanes du quai Veil-Picard (choix n°1)
□ Je suis favorable au futur tramway du Grand Besançon (choix n°2)

Petite mise en garde :

Dans le cas où vous opteriez pour le choix nº1, sachez que les tenants du choix n°2 vous considéreront comme un écolo-conservateur un brin naïf et carrément anti-progressiste. Vous gagnerez votre piédestal au poussiéreux musée des refuseurs d’avenir, où vous profiterez de la compagnie des opposants à la Tour Eiffel de 1889, des paniqués de l’an Mil et autres flippés du nucléaire (pourtant si bon si propre).
Bref, pour l’autre camp vous êtes un con.

Si c’est le choix n°2 qui a emporté votre suffrage, alors acceptez cette réalité : aux yeux des adeptes du choix n°1, vous ne valez pas mieux que les responsables de la déforestation en Amazonie. Vous n’êtes qu’un goudronneur sans cœur, un enlaidisseur urbain… Vous serez tenus directement responsable du quai sans platanes, des hausses d’impôts, des futures crues du Doubs et de la disparition des abeilles.
Donc pour l’autre camp vous êtes un salaud.

Pouf pouf… On en est là. Et on fait quoi maintenant ?

Et bien pour la première fois on propose aux habitants du Grand Besançon de prendre concrètement part à un choix concernant le tramway : celui de son habillage.
Bonne idée ! Beaucoup ont en effet regretté que le choix de ce futur mode de transport ait été effectué sans qu’on veuille bien les consulter.
Au moins, ils seront associés au choix de sa couleur !

Cette semaine, des modélisations de l’engin ont donc été présentées à la presse. Belle bête, plutôt racée.
Une face souriante diront « les choix n°2 ».
De petits yeux vicieux glisseront « les choix n°1 »
Dans un premier temps, trois habillages différents ont été présentés à la presse : blanc nacré, fuchsia et bleu turquoise.

Ce samedi, une quatrième et ultime livrée a été ajoutée. Cet habillage supplémentaire ne manquera pas de surprendre et sans doute de consoler les esprits chagrins puisque ce n’est pas d’une couleur dont il s’agit cette fois, mais d’une « texture » imitant… l’écorce de platane !
Incroyable idée dont l’objectif a n’en pas douter est double :

  • rendre un hommage appuyé aux platanes centenaires du quai Veil Picard « sacrifiés » sur l’autel du tramway naissant ;
  • jouer l’apaisement en offrant aux tenants du choix n°1 une contrepartie symbolique à l’abattage de ces arbres, tout en les invitant à adhérer au projet…

Les quatre habillages proposés pour le futur tramway du Grand Besançon


Et voici les modélisations représentant le tramway avec les quatre livrées proposées.

Les Grands Bisontins sont appelés à se prononcer dès le 18 avril prochain en différents lieux et par le biais de supports variés (coupons à découper, vote en ligne, etc).

Mais vous pouvez déjà donner votre avis en votant ci-dessous pour votre habillage préféré.