Vous pouvez voir des photos des compositions florales de cette année dans ces articles de presse : Macommune.info, l’Est Républicain.
D’autres photos dans ce billet.
N’hésitez pas ensuite à donner votre avis dans le sondage ci-dessous.
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L’important pour moi n’est pas la polémique avec la mairie dont je n’aurais que faire si je n’en étais l’otage.
L’important est que la sculpture continue de répondre à son concept. Je m’explique: cette oeuvre est l’aboutissement d’une réflexion et d’une démarche autour du personnage de JOUFFROY d’ ABBANS.
Au XIXe siècle, le lieu situé entre l’église de la Madeleine et le Pont Battant a été baptisé « Place Jouffroy d’ Abbans », en hommage à l’inventeur du bateau à vapeur. Une sculpture en bronze a été commandée à Charles GAUTHIER, installée sur un gros piédestal en pierre au centre de cette place.
En 1941, les Allemands ont déboulonné la sculpture puis l’ont refondue, ayant besoin d’alliage cuivreux pour leur armement. Disparue donc. La ville commanda à un autre sculpteur, Jean JEGOU, une nouvelle oeuvre, cette fois-ci en béton. Pour des raisons de traffic routier et rayon de braquage, etc..la place a disparu pour devenir un simple carrefour mais le lieu a gardé son nom et la seconde sculpture en béton sur le socle en pierre de la première a été installée au jardin des senteurs, quai de l’Helvétie, où elle se trouve toujours.
Les associations de quartier, riverains, commerçants, etc, désiraient la réimplantation de cette sculpture place Jouffroy, la ville avait presque donné son accord quand elle s’est rendue compte qu’il n’y avait pas la place pour l’y installer. C’est alors que j’ai proposé de réaliser une autre sculpture pour le prix estimé alors du seul déplacement de la sculpture en béton et de son socle.
Mon concept était le suivant: comme il n’y a pas de place sur la place, qui d’ailleurs n’existe plus, pour une sculpture, je la place sur le trottoir adjacent , c’est-à-dire quai Veil Picard. Il n’est bien sûr pas sur le trottoir pour faire le tapin, mais descendu volontairement de son piédestal pour devenir un piéton comme les autres parmi les Bisontins, le seul détail le différenciant étant le costume de son époque. Ainsi désacralisé, sur le même plan que ses semblables, les familiers du lieu se sont habitués à lui et comme vous l’ont adopté.
A cet endroit, il est devant sa plaque commémorative, plaque discrète qui en quelques mots nous le présente, mais pourtant son regard se perd au-delà du garde-corps, dans l’eau du Doubs, lieu de son invention où il laisse aller sa rêverie de visionnaire. De plus, placé comme il l’est, cet homme progressiste du siècle des Lumières tourne le dos à l’ église de la Madeleine, comme le faisait la première sculpture de sa représentation au centre de la place. Enfin, détail important: la sculpture a été conçue pour cet endroit précis et les pointes de ses souliers sont légèrement relevées afin de sembler se poser naturellement sur la pente du trottoir qui permet le ruissellement des eaux de pluie. Ailleurs, il aura les talons dans le vide ou le bout des pieds sous terre.
Une sculpture, c’est tout cela, ce n’est pas du mobilier urbain ! Un banc peut être mis à l’ombre s’il fait chaud puis déménagé au soleil si la saison se rafraîchit.
Une sculpture, c’est plutôt comme un suppositoire, si on se trompe d’endroit pour le mettre, on n’obtient pas du tout l’effet escompté et pourtant c’est toujours un suppositoire, mais il devient alors inutile voire indigeste …!
Par conséquent, cette sculpture, qui est parmi mes autres réalisations la plus connue, la plus reconnue, la plus publiée, photographiée et sans doute la plus aimée du public est ma carte de visite.
Elle m’a demandé pas moins de 1200 heures de travail pour un prix total qui ne couvrirait pas aujourd’hui le seul coût de fonderie. Je vous passe les détails de ce qu’un artiste peut s’entendre dire parfois, en conclusion je demande seulement à ce que ce Jouffroy ne ne soit pas baffoué, mais réinstallé après une vraie réflexion et recherche de ma part, en concertation avec la ville, comme d’ailleurs la loi l’impose.
Je vous remercie de votre soutien, à vous, aux Bisontins, aux internautes qui se sont sentis concernés pour que cette sculpture ne soit pas abandonnée au fond d’une cave pendant deux ans, mais c’est sa réinstallation définitive qui me préoccupe le plus. Sur le futur pont Battant, comme je l’ai lu quelque part, je ne sais pas, il me semble un peu prématuré, là encore, de l’annoncer sans vérifier que le lieu se révélera judicieux, ce qui reste mon domaine de compétence. En attendant le contact constructif des services de la ville.
Bien à vous,
Pascal COUPOT
Toutes les écoles de Besançon ont reçu récemment un courrier de Jean-Louis Fousseret dans lequel ce dernier ne tarit pas d’éloges pour… LE TRAIN :
Extrait :
[quote]Le train a toujours fait rêver les petits et les grands, et le TGV n’a toujours pas détrôné la bonne vieille locomotive à vapeur dans l’imaginaire collectif.
C’est ainsi que le train et son environnement sont toujours très présents dans les dessins d’enfants, dans leurs jeux, et forcément dans votre enseignement [il s’adresse aux enseignants ndlr].
Empreint d’histoire et de modernité ; marquer de progrès techniques et de prouesses technologiques ; porteur d’avancées sociales et de voyages, le train est certainement l’un des moyens de transport d’avenir tant il est conforme aux nécessités de sécurité et de développement durable.[/quote]
Certes oui bien sûr c’est beau un train. On en a tous dessinés étant petits et on a tous joué à tchou tchoooou même si les locos à vapeurs c’était bien avant nous. Nos mouflets en font d’ailleurs autant.
Mais pourquoi notre maire expose-t-il ainsi et maintenant sur la place publique cet attrait, ce penchant, cet amour immodéré pour le chemin de fer ?
Suite :
[quote]Dans quelques jours se déroulera, à l’initiative de l’association Rail Miniature 25, une exposition de maquettes, y compris celle grandeur nature, du futur tramway de l’agglomération bisontine.[/quote]
Mmmmmm… tiens donc
Re-suite :
[quote]Afin de soutenir l’initiative des bénévoles exposants, j’ai souhaité permettre aux enfants d’effectuer une visite de ce salon sur le site de Micropolis les 24 et 25 septembre. Pour cela, j’ai décidé de leur offrir les entrées jointes à ce courrier, et j’ai pensé que vous accepteriez de vous associer à cette démarche en les distribuant à vos élèves.[/quote]
Et pour achever de convaincre l’enseignant :
[quote]Des invitations pour vous-même et vos collègues sont jointes à cet envoi.[/quote]
les fanas de train miniatures et autres maquettes ferroviaires tiendront salon ce week-end à Micropolis. Heureuse nouvelle car le train est LE moyen de transport merveilleux que les enfants adorent. Il est en outre sécurisé et parfaitement écologique. Le must.
DONC : le Maire de Besançon a décidé d’offrir généreusement l’entrée au salon des petits trains aux plus jeunes bisontins…
HASARD INCROYABLE : la maquette grandeur nature du futur tramway sera justement exposée pour la première fois à ce salon.
On l’a d’ailleurs (un peu) mentionné sur les entrées gratuites.
Scène 1 (au retour de l’école)
Léo : — Papa ! Maman ! J’ai une entrée gratuiiiiiiiiiite pour aller voir les petits trains !
Papa : — Fais voir ça. Euh… mouais… c’est gentil mais du coup nous on va devoir payer nos entrées adultes…
Léo : — Aller ! Aller ! En plus y’aura le tramway de Besançon !
Maman : — Ah non ! Pitié ! Pas le tram ! Les impôts !
Papa : — Les platanes !
Maman : — Les travaux ! Les commerces qui ferment !
Papa : — Les bouchons !
Maman et Papa : — On n’en veut pas !
Léo : — Si ! Si ! Moi je VEUX y’aller !!!
Scène 2 (au retour du Micropolis)
Papa : — Alors ça t’a plu les petits trains ?
Léo : — Bah tu sais y’avait que les adultes qu’avaient le droit de jouer avec, alors…
Maman : — Moi je l’ai trouvé joli le tram.
Papa : — Oui pas mal c’est vrai. A part peut-être ce bleu chiasseux.
Maman : — Ça fait un peu salle de bain non ? J’aurais préféré le blanc c’est sûr. Le Maire aussi à c’qu’on dit.
Papa : — N’empêche que ça donne plus envie que le bus…
Maman (en aparté) : — Tu crois qu’il aura des entrées gratuites le gamin pour le salon de l’érotisme ?
Pré-générique : le regard d’un homme de bronze en plan serré.
Résumé succinct des deux précédents épisodes
Générique
France 3 Franche-Comté consacre un reportage à notre affaire. L’occasion de voir Pascal Coupot, le sculpteur, en personne et d’entendre sa réaction. Une discussion s’amorce en fin de reportage entre lui et le directeur du projet tram…
[iframe http://www.youtube.com/embed/nQggEueo1JY? 570 350]
France 3 Franche-Comté – JT 12/13 – 31 août 2011
La page Facebook – quant à elle – compte bientôt 200 aficionados du statuaire marquis. Ce n’est pas énorme mais ça a suffi à attirer l’attention de l’Est Républicain et de la municipalité …
Sur la méthode d’abord : un billet caustique mais plutôt bien vu…
Sur le fond ensuite : un article écrit par Eric Barbier (comme celui de la veille) apporte des éléments en provenance de la Ville de Besançon et de son maire – Jean-Louis Fousseret.
Extraits :
[quote] Face à l’excitation de quelques internautes toujours prompts à chercher la petite bête, l’équipe municipale a revu sa copie. Jean-Louis Fousseret certifie dans un premier temps que le père du bronze, Pascal Coupot, « va bien être contacté.
(…) « on va appeler l’artiste pour indiquer notre démarche et le repositionnement de la statue. Et on le fera avec lui, c’est une évidence »[/quote]
Excités vous dites ? Ou peut-être juste « concernés » et sachant utiliser les outils du XXIe siècle pour se mobiliser et défendre une cause.
Une cause symbolique : de par son emplacement, cette statue est un peu le dernier arbre du quai et… le seul que l’on peut encore sauver. Elle en est assurément la plus vieille branche puisque Jouffroy aura 260 ans le 30 septembre prochain.
N’empêche. Chacun sera rassuré d’apprendre que la Ville n’a pas « oublié de consulter le sculpteur » – contrairement à ce que je titrais dans le billet précédent. La Ville a juste omis de le faire AVANT de sceller le sort de la statue dans le BVV…
En substance : « le BVV est parti tout seul »… mais il est encore temps de rattraper le coup. Et tant mieux.
[quote] Aucune certitude pour l’instant sur l’avenir à court terme du marquis. « Il a peut-être été envisagé à un moment de la mettre dans les caves mais c’est impossible. On va essayer de voir où on peut la mettre pendant les travaux », explique Jean-Louis Fousseret. « Peut-être de l’autre côté du pont, on va voir ». [/quote]
En voilà une bonne nouvelle ! Merci Monsieur le Maire d’avoir su écouter et de vous montrer attentif à l’attachement que les Bisontins portent à cette statue.
[quote]« Notre leitmotiv, c’est informer », martèle le premier édile de Besançon qui se refuse de répondre aux pages Facebook publiées par « des anonymes.[/quote]
Pan ! Pour le bison ! L’anonymat… ma pathétique facette « Superman mégalo ». Je sais, je sais c’est mal, c’est lâche, c’est couard… mais voyez-vous : qui irait voir Clark Kent au cinéma ? Mégalo je vous dis.
Mais revenons un peu aux « amoureux du marquis ». Ceux qui se sont inscrits sur la page Facebook. Ils ne sont pas anonymes – eux – et ils commencent à être nombreux. Espérons toutefois qu’ils sauront redevenir anonymes – en 2014 – dans le secret de l’isoloir.
[quote]Ce que ça montre aussi, c’est que cette œuvre est très prisée, autant que le Victor Hugo de l’esplanade de la mairie ».[/quote]
Question de goût mais oui, le marquis ne laisse personne indifférent.
En clair, les choses semblent évoluer dans le bon sens. Espérons que la Ville de Besançon et Pascal Coupot trouveront un lieu approprié à l’installation temporaire du marquis durant les travaux.
Et l’Est Républicain d’ajouter :
[quote]Les bonnes idées sont les bienvenues pour que les travaux du tram ne marchent pas sur les pieds du grand homme et que celui-ci continue à conserver son pouvoir d’attraction sur les citadins et les touristes.[/quote]
Alors ça, les internautes n’ont pas attendu qu’on leur suggère et certains (j’en fais d’ailleurs partie) s’en sont donnés à coeur joie. Donnant libre cours à leur imagination débridée pour imaginer le futur emplacement de la statue du marquis Jouffroy d’Abbans.
Mise en garde : quelques images sont très légèrement retouchées et certaines contiennent même de l’humour
Envie de proposer d’autres montage photo avec le marquis ? Vous pouvez télécharger le fichier contenant l’image de la statue détourée en cliquant ici (fichier PSD – format Photoshop)
Vous pourrez ensuite poster vos images en vous inscrivant sur la page Facebook ci-dessous.
Ce dimanche 3 juillet dès 13h30 se tenait dans le quartier Battant la deuxième édition de la course de caisses à savon organisée conjointement par l’espace associatif et d’animation des Bains Douches. et par la FECOCAS (Fédération comtoise de caisses à savon).
Ce sont 19 bolides qui se sont alignés au départ d’un parcours d’un peu plus de 400 mètres reliant le Fort Griffon au bas de la rue de la Madeleine via la rue Richebourg.
[iframe http://maps.google.fr/maps/ms?msa=0&msid=206867941943393743688.0004a74019634fb843376&hl=fr&ie=UTF8&ll=47.241395,6.017965&spn=0.002914,0.006158&z=17&output=embed » 575 400]
Vu parmi les engins, une authentique caisse à savon en bois équipée d’un dispositif qui fait des bulles, deux engins en bois superbement ouvragé très rapides car collant littéralement à la route, une Ferrari spécialement conçue pour cette course… et puis il y a ces 5 véhicules construits par les élèves de la classe de 3DP6 du Lycée Professionnel Henri Fertet de GRAY. Pour eux, la course a été la concrétisation d’un projet qu’ils ont mené tout au long de l’année.
Certains pilotes sont vice-champions de France et jouent la montre, d’autres ne sont encore que des enfants et vivent là un moment incroyable. On trouve « l’écurie » des Bains Douches dont le véhicule est inspiré par le futur tramway bisontin et celle de la rue Claude Pouillet dont le destrier montre les dents.
Pour la petite histoire, précisons que les courses de caisses à savon ont déjà connu leur heure de gloire au début des années 80 à Besançon. Il y en eu cinq éditions qui furent organisées par le Comité de Quartier indépendant de Battant.
Voilà pour le passé. Pour l’avenir, prenons cet engagement : l’an prochain, il y aura une caisse à savon « sponsorisée » par le blog du Bison Teint ! Sur Twitter, on en parle déjà…
[iframe http://www.youtube.com/embed/6CGLUSLsGmI?rel=0 575 357]
Vidéo par © GeryH
Sur le Web
A Besançon nous avons une rue trèèèèèèèèès longue. Si looooooooongue qu’on l’a appelée : la « Grande rue« . Tout simplement.
Ce n’est pas très original mais ça a le mérite d’être clairement informatif. Les Bisontins sont des gens simples voyez-vous. Aux antipodes des Parisiens si compliqués qui n’ont rien trouvé de plus pertinent que de baptiser leur plus vieux pont « Pont Neuf »… pfff !
Bref, la Grande rue est longue et chaque année depuis 11 ans, les Bisontins en profitent et la transforment en aire géante de pique-nique. Même pas peur !
C’est en 2001, que l’idée du premier pique-nique géant a été lancée : des dizaines de tables mises bout à bout, des chaises, des bancs, un apéritif offert par la ville et les habitants qui sortent des chez eux – paniers et glacières à bout de bras – s’installent, déballent les réjouissances et s’offrent un pique-nique en commun avec des centaines d’autres habitants.
L’occasion souvent de faire connaissance et un chouette moment de convivialité accompagné en musique par des groupes musicaux de styles divers.
L’expérience s’est reproduite chaque année depuis 2001… sauf lors d’une année pluvieuse qui a eu la peau du pique-nique.
Cette année c’était donc la dixième édition et elle a attiré plus de 1 200 convives qui ont occupé 300 mètres de nappe à carreaux du Pont Battant jusqu’à la place du 8 Septembre. Au passage sachez que cette place s’appelle comme ça depuis l’après-guerre mais que tout le monde continue à la dénommer « place St Pierre ». Bah oui, au final les Bisontins savent se montrer aussi compliqués que les Parisiens.
Indiscrétion : Emmanuel Dumont, adjoint à la Communication et instigateur du premier pique-nique, confie à qui veut l’entendre son ambition de « passer le pont Battant » lorsque celui-ci sera reconstruit après 2012… Le pique-nique s’étirera alors jusqu’au quartier Battant. Record en vue !
Osons parler de tradition puisque le « pique-nique géant » semble bel et bien être entré dans le folklore local. En tout cas, belle manière pour les Bisontins du centre-ville de célébrer le début de l’été tous âges confondus !
Comment ? Vous n’y étiez pas ? Alors voici la séance de rattrapage !
Au menu, une vidéo réalisé par @GeryH alias Superman (si si… IL VOLE au-dessus des tables le point en avant, subjuguant les joyeux fêtards) et quelques photos maison pour vous donner une idée de l’ambiance d’un dimanche soir d’été à Besançon façon nappe rouge à carreaux…
Vidéo par © GeryH
Une vidéo faisant la promotion de la Citadelle de Besançon sera diffusée cet été sur les vols longs courriers d’Air France.
Cette information a été reprise par la presse y compris sur Internet mais… mystère : point de vidéo présentée personne ne l’a diffusée, pas même le site de l’Office du Tourisme de Besançon.
Pourquoi tant de cachoteries ?
Brisons le suspense. En cherchant un peu sur le Web, il est possible de la débusquer. La voici en exclusivité.
[iframe http://player.vimeo.com/video/24101679?title=0&byline=0&portrait=0 570 321]
Quelques informations (source : le Progrès) : cette vidéo sera diffusée à bord de quelques 16 000 vols longs courriers et pourra être visionnée par 3 837 000 passagers potentiels.
La réalisation a été confiée à la société belge Parachute Production qui travaille habituellement avec Air France.
Le prix : 17 000 euros, a été jugé intéressant par la Ville de Besançon.
Je n’en dis pas plus pour l’instant mais je serais très intéressé de recueillir vos avis dans les commentaires…
[iframe http://player.vimeo.com/video/24101618?title=0&byline=0&portrait=0 570 321]
En direct de la Foire Comtoise à Micropolis, le résultat sera annoncé d’ici une heure par Jean-Louis Fousseret devant les caméras de France 3 Franche-Comté.
Mais mon appareil photo est très indiscret et il n’a pas pu s’empêcher d’immortaliser la feuille de décompte qu’un huissier était en train contrôler. Ceci n’est peut-être qu’un décompte partiel mais qui montre une tendance lourde.
Les chiffres donnés sont les nombres de voix par choix de vote ainsi que les totaux au vendredi 3 juin 2011 à 20h00.
Bilan :
Une certitude : le tramway du Grand Besançon sera bleu turquoise !
Cette couleur remporte plus de 41 % des 15 000 et quelques voix exprimées.
Le tramway ressemblera donc à ceci :
Techniquement, ce bleu se nomme « bleu pantone 632 »
Et vous qu’en pensez-vous ? Devrez-vous revoir votre garde-robe pour vous harmoniser avec le tramway ?
Le résultat était le bon et a été confirmé sur France 3 Franche-Comté par Jean-Louis Fousseret.
Nous pouvons observer que :
Dessin de Bes’Tio
Non non… je sais très bien qui je suis. Rassurez-vous.
Par contre Céline Garrigues ne le sait pas et aimerait bien en savoir un peu plus… Céline est journaliste à la Gazette de Besançon et m’a posé quelques questions auxquelles j’ai répondu par mails. Discrétion oblige.
Expérience sympathique et très gratifiante pour le blogueur que je suis.
Le résultat est consultable en version papier dans toutes les bonnes boulangeries, durant tout le mois de mai ou ici en format PDF.